Bravados - The Bravados - 1958 - Henry King
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- cowman
- Epicier
- Messages : 53
- Enregistré le : 12 déc. 2007 22:07
- Localisation : temporairement dans un camp d'indiens
Re: Les Bravados - The Bravados - 1958 - Henry King
je viens de découvrir ce film et je dois dire que j'ai bien aimé!..Je ne connaissais Grégory peck seulement que de nom ...Et j'ai enfin pu mettre un visage et une allure hors du commun sur ce nom, vraiment un très bon acteur!...J'ai hate de decouvrir d'autres films de notre cher ami grégo!...
Pour parler du film, j'ai trouvé que les scènes d'assassinats auraient pu être un peu plus aboutie, parfois on reste un peu sur notre faim, c'est un peu dommage....sinon j'ai passé un trés bon moment 8/10.
Pour parler du film, j'ai trouvé que les scènes d'assassinats auraient pu être un peu plus aboutie, parfois on reste un peu sur notre faim, c'est un peu dommage....sinon j'ai passé un trés bon moment 8/10.
Re: Les Bravados - The Bravados - 1958 - Henry King
Première représentation à Paris le 3 Octobre 1958 au Moulin-Rouge , au Rex et au Normandie en version française et originale .
- lafayette
- Lieutenant
- Messages : 7167
- Enregistré le : 22 déc. 2010 1:53
- Localisation : Landais expatrié 91
Re: Les Bravados - The Bravados - 1958 - Henry King
Ce qui m'avait supris au cinéma la première fois, c'est le tournant sur le comportement du métis Henri Silva et lorsqu'on croit que Peck va le descendre, la tonalité change et de méchant il devient un gentil père de famille. Et Gregory Peck a un joli moment d'abruti par la vérité!
En revanche, j'avais vite deviné que le groupe, ayant échappé à la pendaison et poursuivi, était innocent du viol et du meurtre de la femme de Gregory Peck.
Je préfère ici Gregory Peck vu par Henry King que vu par King Vidor et les autres cinéastes ayant participé au film charcuté Duel au soleil.
Un bémol dans ce film est la fin avec la façon rapide dont Gregory Peck est consolé du gros remords d'avoir tué des innoncents du crime sur sa femme.
Le plus difficile est de bien finir un film. On aurait pu finir sur le remords qui aurait été plus dans le ton général qu'un happy end, même si les bonnes fins sont mes préférées généralement.
Et puis, finalement, je ne pardonnerai jamais à Gregory Peck d'avoir assassiné l'innocent Lee Van Cleef qui avait pourtant joué une belle scène de supplication!
Et ça ne se fait pas de pendre un type par les pieds à un pin! Ca m'a foutu les boules!
En revanche, j'avais vite deviné que le groupe, ayant échappé à la pendaison et poursuivi, était innocent du viol et du meurtre de la femme de Gregory Peck.
Je préfère ici Gregory Peck vu par Henry King que vu par King Vidor et les autres cinéastes ayant participé au film charcuté Duel au soleil.
Un bémol dans ce film est la fin avec la façon rapide dont Gregory Peck est consolé du gros remords d'avoir tué des innoncents du crime sur sa femme.
Le plus difficile est de bien finir un film. On aurait pu finir sur le remords qui aurait été plus dans le ton général qu'un happy end, même si les bonnes fins sont mes préférées généralement.
Et puis, finalement, je ne pardonnerai jamais à Gregory Peck d'avoir assassiné l'innocent Lee Van Cleef qui avait pourtant joué une belle scène de supplication!
Et ça ne se fait pas de pendre un type par les pieds à un pin! Ca m'a foutu les boules!
Re: Les Bravados - The Bravados - 1958 - Henry King
Les très beaux paysages de ce film sont le plus grand atout. Les seconds rôles, Sheriff et les quatre bandits sont très profiliques, ce sont
eux qui donnent du nerf à ce Western.
Gregory Peck (Jim Douglas) qui veut se venger du meurtre de son épouse, a un air (de rien qui ne l'intéresse plus), marqué par sa désolation,
sa solitude, trop aigri. Il ne peut attendre que justice soit faite.....
Ce Western est surtout une accusation contre la peine de mort, l'auto justice et finalement le rôle de la religion, qui est là pour le pardon et la
consolation.
Le dénouement de l'histoire aurait mérité plus d'attention, un Western ne dérapant pas de sa moyenneté.
eux qui donnent du nerf à ce Western.
Gregory Peck (Jim Douglas) qui veut se venger du meurtre de son épouse, a un air (de rien qui ne l'intéresse plus), marqué par sa désolation,
sa solitude, trop aigri. Il ne peut attendre que justice soit faite.....
Ce Western est surtout une accusation contre la peine de mort, l'auto justice et finalement le rôle de la religion, qui est là pour le pardon et la
consolation.
Le dénouement de l'histoire aurait mérité plus d'attention, un Western ne dérapant pas de sa moyenneté.