Les Cordes de la potence - Cahill United States Marshal - 1973 - Andrew V. McLaglen
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Les Cordes de la potence - Cahill United States Marshal - 1973 - Andrew V. McLaglen
J'adore ce western qui fait partis des western d'action pure duduke wayne il possède de grande qualiteé et nous entraine vers une continuiteé de situations des plus phantasmagorique a notez la presence de neville brand dans le role de l'indien metisse et qui est de toute beauteé,ami de duke wayne dans le western il sera pas ingrat pour protégez son amis en se faisant tuez.Un western digne des post-production de la fin des anneés 60 et debut 70 qui se regarde sans apprioris,ma note8/10.
je propose et recherche tous westerns américains.
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- Cowboy
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Les cordes de la potence
Voilà « Les cordes de la potence », réalisé par Andrew McLaglen, en 1973 (de son vrai titre « Cahill : United States Marshall », très tendance « Dirty Harry »…). Il s’agit de la dernière collaboration de notre tandem déjà cité, mais ce n’est malheureusement pas la meilleure, loin de là… De prime abord, « Les cordes de la potence » a tout pour séduire : un scénario simple mais solide, un héros limite solitaire interprété par un John Wayne toujours excellent, une certaine profondeur dans le récit… Mais malgré tout cela, force est d’avouer qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Les scènes d’action sont très mineures et en fort petit nombre, mais là n’est pas la question, car « Les cordes de la potence » n’est absolument pas un Western d’action, il serait presque l’opposé de « Chisum ». En effet, cette fois, Wayne aurait tendance à faire cavalier seul. Certes il est entouré par l’indien et quelques hommes au bureau du shérif, mais rien de sensationnel, car c’est sur lui que repose la quête dans cette histoire, et les autres personnages ne sont finalement que des pantins servant à guider ou aider à un moment donné notre héros. Bref, mis à part les deux fils du héros, moteurs essentiels du récit, notre Duke est bien seul. Ce genre de rôle, il semblait l’affectionner tout particulièrement vers la fin de sa carrière, c’est à dire des rôles de shérifs solitaires, râleurs, passionnés par leur métier, faisant respecter la loi coûte que coûte, puissants et même invincibles, l’âge avancé du Duke (en plein dans sa soixantaine) leur conférant un statut indestructible. En effet, « Les cordes de la potence » offre à Wayne un rôle ressemblant en certains points à celui qu’il avait dans « Cent dollars pour un shérif » avant et « Une bible et un fusil » plus tard, ou même à ceux qu’il avait dans ses deux uniques polars, « Un silencieux au bout du canon » et « Brannigan ». Donc, Wayne vieillit, mais il reste d’une obstination sans faille et il reste également avant tout une icône légendaire du cow-boy invincible. Ses rôles dans « Cent dollars pour un shérif » ou dans « Les cordes de la potence », on pourrait un peu les comparer aux policiers urbains solitaires des polars d’alors, style « Dirty Harry », « Bullitt », « French connection », « They call me mister Tibbs »… Wayne interprète des shérifs tout aussi brutaux, passionnés et efficaces que ces flics de villes. En gros, « Les cordes de la potence » et les autres déjà cités, c’est un peu l’inspecteur Harry au Far-West. Mais la comparaison s’arrête là, les personnages étant extrêmement différents… A noter tout de même qu’il est amusant de remarquer que le flingue de John Wayne dans « Les cordes de la potence » dégage la même sonorité dans la scène finale que celui de l’inspecteur Harry ! Plutôt ludique ! Bref, Wayne est ici un shérif puissant et rien ne peut l’arrêter, et on le sait dès les premières minutes du film. Mais tout comme « Cent dollars pour un shérif », ce film dégage avant tout une sensibilité, car il est ici question d’un Western intimiste aux allures de drame familial. Wayne se remet en question… A-t-il été un bon père ? A-t-il fait les choses comme il le devait ? N’a-t-il pas été trop passionné par son travail alors que ses enfants avaient besoin de lui ? Honore-t-il vraiment comme il le faut la mémoire de sa femme ? Autant de questions dans ce film qui en font presque un Western psychologique, comme Wayne en a d’ailleurs beaucoup tourné antérieurement (mais des bien meilleurs). « Les cordes de la potence » confirme aussi l’idée que l’on a de la filmographie de John Wayne : il a tourné ses plus grands chefs d’œuvres et ses meilleurs films tout court dans les années 1930, 1940, 1950 et 1960. La dizaine de films qu’il tournera dans les années 1970 ne fera qu’asseoir le Mythe John Wayne sans le révolutionner. Seuls « Rio Lobo » en 1970, « Les cow-boys » en 1972 et « Le dernier des géants » en 1976 sont réellement vraiment des chef-d’œuvres authentiques. Les autres films, polars ou Westerns, bien que parfois excellents, ne marqueront pas l’univers du cinéma de par leur peu d’originalité (mais les cinéphiles purs et durs comme moi s’en souviendront éternellement). Avouons-le, « Les cordes de la potence » est un Western un peu fatigué, parfois mou du flanc, hésitant sur pas mal de points, mis en scène de manière honorable sans plus, bref, un divertissement certes bon, mais en deçà de ce que l’on aurait pu attendre. Enfin, et il est bon de le souligner, ce Western, souvent mis à côté de « Cent dollars pour un shérif » sur cette page, n’arrive même pas à sa cheville de par sa perfection et sa nonchalance. La dernière collaboration Wayne-McLaglen n’est pas inoubliable, et c’est regrettable quand on voit ce qu’elle était capable de donner. Mais ne crachons pas dessus, le divertissement est là tout de même, et John Wayne, lui, n’est jamais en deçà de nos espérances. Un bon film.
J'adore par contre le titre en VO: cahill marshall united states très evocateur pour un western assez bien rhytmé neamoins,george kennedy et neville brand y jouent a la perfection,la scène d'intro(cahill sur sa monture dans la neige) y est somptueuse,j'adore et j'adhère a ces western populaire,comme mc laglen savait les faire
je propose et recherche tous westerns américains.
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- Cowboy
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Diable, diantre et cornegidouille... Sonnez clairons, résonnez tambours, il y a quelque chose de nouveau sous le ciel de l'ouest !
Carcasse nous pond un sujet sur un MacLagen et, pour une fois, il ne va pas en dire de mal...
Souvent, j'en discutais encore dernièrement par tam-tam avec musselshell, McLagen nous pond des passages extraordinaires dans ses films (il suffit de citer le début de Bandolero, le milieu de Rancho Bravo, quelques scènes de Chisum) avant que le soufflé ne retombe misérablement. Cela reste du bon travail d'artisan, certes, mais du boulot bien décousu quand même...
Or, ce Cahill US Marshall (les cordes de la potence, quelle trad idiote, mais Andrew n'y est pour rien) est un vrai film dans sa totalité.
Pourtant, ce western commence par une scène géniale dans la neige (je ne vous en dirai pas plus) et je suis tout de suite très inquiet pour mon soufflé...
Eh bien, non. Il n'est pas retombé. Je ne veux pas dire que toutes les scènes sont aussi bonnes que la première, mais l'intérêt ne faiblit jamais et on ne s'ennuie pas une seconde pendant tout le film...
Attention, je n'irai pas vous dire qu'il s'agit-là d'un pur chef-d'œuvre ! Mais voila un bon petit western qu'il m'a été très agréable de voir (et en famille en plus).
Carcasse nous pond un sujet sur un MacLagen et, pour une fois, il ne va pas en dire de mal...
Souvent, j'en discutais encore dernièrement par tam-tam avec musselshell, McLagen nous pond des passages extraordinaires dans ses films (il suffit de citer le début de Bandolero, le milieu de Rancho Bravo, quelques scènes de Chisum) avant que le soufflé ne retombe misérablement. Cela reste du bon travail d'artisan, certes, mais du boulot bien décousu quand même...
Or, ce Cahill US Marshall (les cordes de la potence, quelle trad idiote, mais Andrew n'y est pour rien) est un vrai film dans sa totalité.
Pourtant, ce western commence par une scène géniale dans la neige (je ne vous en dirai pas plus) et je suis tout de suite très inquiet pour mon soufflé...
Eh bien, non. Il n'est pas retombé. Je ne veux pas dire que toutes les scènes sont aussi bonnes que la première, mais l'intérêt ne faiblit jamais et on ne s'ennuie pas une seconde pendant tout le film...
Attention, je n'irai pas vous dire qu'il s'agit-là d'un pur chef-d'œuvre ! Mais voila un bon petit western qu'il m'a été très agréable de voir (et en famille en plus).
Cuacuacocomekiki ? (Averell Dalton)
Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
Un western classique, DUKE y incarne un représentant de la loi et fonce dans le tas sous la houlette de son copain ANDREW
Une fiche TV
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PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
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Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
Beau montage les Japs!! Voici une belle pour Cahill!!
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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- Localisation : au dessus de Strasbourg
Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
de toute beauté, à l'intérieur d'une étoile de Marshall en plus, pas mal du tout, bravo les japonais
Merci Metek pour toutes ces affiches qui me font très très plaisir, tu nous gâtes vraiment
pour Metek, hip hip hip hourra ! bien mérité
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CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
Et une italienne de plus!
Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
Pour moi, c'est le meilleur film du duo McLaglen-Wayne. Surtout grâce à la beauté de certaines images ( le début dans la neige) , à certains personnages ( le métis) et à cette intrigue familiale. Bien sûr, on ne va pas comparer avec les chefs-d'oeuvre du genre. Le personnage du chef de la bande (Kennedy) est traité avec une hésitation un peu fâcheuse. En fait, on ne sait pas trop s'il doit faire peur ou rire et c'est légèrement fatigant.
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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Re: Les cordes de la potence - Cahill U.S. Marshall - 1973 - Andrew V. McLaglen
ah oui Laurent, elle est belle celle-ci
je vais en faire un tee-shirt rien que pour moi
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CAHILL, UNITED STATES MARSHAL