Ruth CLIFFORD (1900-1998)
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Ruth CLIFFORD (1900-1998)
Ruth CLIFFORD fut une actrice américaine qui fit les grandes heures du cinéma muet, dont la carrière dura du muet à l’apparition de la télévision.
Native de Pawtucket, Rhode Island, elle naquit le 17 février 1900. Elle fit ses études au St. Mary's Seminary à Narragansett, Rhode Island, puis, suite au décès de sa mère en 1911, se rendit, encore adolescente à Los Angeles pour y vivre chez sa tante qui était une actrice.
Elle fit de la figuration avant de débuter sa carrière, à l’âge de 15 ans, chez Universal dans des rôles substantiels.
A 25 ans, elle était une star qui jouait les premiers rôles, comme celui de Ann Rutledge, l’amour perdu d’Abraham Lincoln dans The Dramatic Life of Abraham Lincoln (1924).
Mais l’avènement du parlant diminua la teneur de ses rôles, et pendant les trois décennies suivantes, elle décrocha des rôles de plus en plus petits. Elle était l’une des actrices favorites de John Ford (ils jouaient au bridge ensemble), qui fit appel à ses services dans 8 films, mais rarement pour les rôles principaux. Elle fut aussi, pendant un moment, la voix de Minnie Mouse pour Walt Disney.
Elle vécut assez longtemps pour être interrogée pour des documentaires dont l’objet était les débuts d’Hollywood.
Elle fut mariée au promoteur immobilier de Beverly Hills, James Cornelius. Ils eurent un enfant et divorcèrent en 1938.
Elle décéda le 30 novembre 1998 à l’âge de 98 ans. Elle est enterrée au Holy Cross Cemetery de Culver City.
Sa contribution au western fut la suivante :
Hands Down de Rupert Julian (1918), Hilda Stuyvesant
Along the Rio Grande de Edward Killy (1941), Paula
Land of the Open Range de Edward Killy (1942), Mrs Palmer
Le fils du désert de John Ford (1948), la femme dans le bar
Le convoi des braves de John Ford (1950), Fleuretty Phyffe
La prisonnière du désert de John Ford (1956), la folle au fort qui s’approprie la poupée de Wood
Les deux cavaliers de John Ford (1961), une femme (non créditée)
Native de Pawtucket, Rhode Island, elle naquit le 17 février 1900. Elle fit ses études au St. Mary's Seminary à Narragansett, Rhode Island, puis, suite au décès de sa mère en 1911, se rendit, encore adolescente à Los Angeles pour y vivre chez sa tante qui était une actrice.
Elle fit de la figuration avant de débuter sa carrière, à l’âge de 15 ans, chez Universal dans des rôles substantiels.
A 25 ans, elle était une star qui jouait les premiers rôles, comme celui de Ann Rutledge, l’amour perdu d’Abraham Lincoln dans The Dramatic Life of Abraham Lincoln (1924).
Mais l’avènement du parlant diminua la teneur de ses rôles, et pendant les trois décennies suivantes, elle décrocha des rôles de plus en plus petits. Elle était l’une des actrices favorites de John Ford (ils jouaient au bridge ensemble), qui fit appel à ses services dans 8 films, mais rarement pour les rôles principaux. Elle fut aussi, pendant un moment, la voix de Minnie Mouse pour Walt Disney.
Elle vécut assez longtemps pour être interrogée pour des documentaires dont l’objet était les débuts d’Hollywood.
Elle fut mariée au promoteur immobilier de Beverly Hills, James Cornelius. Ils eurent un enfant et divorcèrent en 1938.
Elle décéda le 30 novembre 1998 à l’âge de 98 ans. Elle est enterrée au Holy Cross Cemetery de Culver City.
Sa contribution au western fut la suivante :
Hands Down de Rupert Julian (1918), Hilda Stuyvesant
Along the Rio Grande de Edward Killy (1941), Paula
Land of the Open Range de Edward Killy (1942), Mrs Palmer
Le fils du désert de John Ford (1948), la femme dans le bar
Le convoi des braves de John Ford (1950), Fleuretty Phyffe
La prisonnière du désert de John Ford (1956), la folle au fort qui s’approprie la poupée de Wood
Les deux cavaliers de John Ford (1961), une femme (non créditée)
Modifié en dernier par DEMERVAL le 13 mars 2021 6:56, modifié 1 fois.
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Re: Ruth Clifford (1900-1998)
Ruth Clifford et Alan Mowbray dans Wagon Master
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Re: Ruth Clifford (1900-1998)
Là, vous avez vu ... ? C'est pas moi ... déjà la capture de Yo, trop évidente, maintenant une membre de sa 'stock company' ...
Jolie capture, comme d'hab', mais faudrait pas croire qu'on s'habitue et qu'on ne dise plus rien ... Merci, LD !
(et vous seriez un brin taquin, que ça ne m'étonnerait pas ...)
Jolie capture, comme d'hab', mais faudrait pas croire qu'on s'habitue et qu'on ne dise plus rien ... Merci, LD !
(et vous seriez un brin taquin, que ça ne m'étonnerait pas ...)
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
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- musselshell
- Castor éclopé
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Re: Ruth Clifford (1900-1998)
On est sous le regard d' Ethan là, non? ça plongerait pas un chouilla, the big guy looking down on the crazy creatures?mmmh?
Ceci-dit, il ne faut pas s'y habituer à toutes ces images et autres captures, ça suppose tellement de labeur, de temps offert, de quasi don de soi...
Quant à la fixette,il va falloir s'y faire, ce n'est pas grave, il est vrai, mais sans être totalement bénin non plus.
Envoyé de mon ONEPLUS A6013 en utilisant Tapatalk
Ceci-dit, il ne faut pas s'y habituer à toutes ces images et autres captures, ça suppose tellement de labeur, de temps offert, de quasi don de soi...
Quant à la fixette,il va falloir s'y faire, ce n'est pas grave, il est vrai, mais sans être totalement bénin non plus.
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C'est beaucoup trop 255 caractères. Je renonce à apposer une signature.
Ah...c'est la limite haute...
Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
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Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
-
- Trappeur
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- Enregistré le : 26 sept. 2018 7:20
Re: Ruth Clifford (1900-1998)
Cette scène me glace un peu plus d'effroi chaque fois que je la vois. Le pire étant la jeune femme qui berce une buche. Tiens, l'expression de la terreur chez [...], encore un sujet...
Sérieux, faut qu'y nous trouvent un vaccin, on est quand même très atteints...
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"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."
- yves 120
- Lieutenant
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Re: Ruth Clifford (1900-1998)
Et dire qu'il y en à qui pensait que je faisais de " la fixette " sur un acteur ... il y a de quoi heu rigoler
(Je pense qu 'aucun vaccin à se niveau là ) ferait l 'affaire )
(Je pense qu 'aucun vaccin à se niveau là ) ferait l 'affaire )
" Qu' est - ce qu 'un revolver ? Ni pire ni mieux qu 'un autre outil , une hache , une pelle ou une pioche .
Qu 'il en sorte du bien ou du mal dépend de qui s'en sert . " SHANE
Qu 'il en sorte du bien ou du mal dépend de qui s'en sert . " SHANE
Re: Ruth CLIFFORD (1900-1998)
"Drums along the Mohawks/Sur la piste des Mohawks" en 1939
Avec Claudette Colbert
"How green was my valley/Qu'elle était verte ma vallée" en 1941
Avec Mae Marsh
"My darling Clementine/La poursuite infernale" en 1946
Avec Jane Darwell, avec Ben Hall et Alan Mowbray
"Wagon Master/Le convoi des braves" en 1950
Avec Joan Dru et Alan Mowbray
et (Nouveau crédit, étonnamment) elle est aussi dans :
"Fort Apache/Le massacre de Fort Apache" en 1948
Avec Mae Marsh
Modifié en dernier par JoDel le 06 févr. 2023 21:14, modifié 1 fois.
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Ruth CLIFFORD (1900-1998)
"3 Godfathers/Le fils du désert" en 1948
Avec John Wayne, Francis Ford, Gertrude Astor, et dans le fond Jack Kenny, Jack Montgomery et Jim Mason
"The last Hurrah/La dernière fanfare" en 1958
Au chevet de Spencer Tracy
"Two rode together/Les deux cavaliers" en 1961
Avec Anna Lee et O.Z. Whitehead
Nouveau crédit :
"The Informer/Le Mouchard" en 1935
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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