La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
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- As de la gâchette
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La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
Western produit par la Columbia
8,5/10
Bon film d'action, avec chevauchées, coups de feu, bagarres, et dans un rôle secondaire mais attachant Neville Brand, au grand coeur cette fois...
Ici, les méchants sont très méchants et les gentils très justes, très droits; l'histoire nous conte l'épopée sanglante d'un père (Jack Palance), ancien officier sudiste et de ses trois fils (dont deux sont comme lui cruels et prêt à descendre le premier venu qui pourrait faire offense à la famille, l'autre très gentil) menant des raids au Texas par veangence et cupidité, a la tête d'une bande d'outlaws; la famille se divise, et c'est le drame !!
bon moment de détente assuré
8,5/10
Bon film d'action, avec chevauchées, coups de feu, bagarres, et dans un rôle secondaire mais attachant Neville Brand, au grand coeur cette fois...
Ici, les méchants sont très méchants et les gentils très justes, très droits; l'histoire nous conte l'épopée sanglante d'un père (Jack Palance), ancien officier sudiste et de ses trois fils (dont deux sont comme lui cruels et prêt à descendre le premier venu qui pourrait faire offense à la famille, l'autre très gentil) menant des raids au Texas par veangence et cupidité, a la tête d'une bande d'outlaws; la famille se divise, et c'est le drame !!
bon moment de détente assuré
Modifié en dernier par dan duryea le 25 janv. 2011 18:04, modifié 2 fois.
Re: "La haine des desperados"(1968)-Jack Palance
Je trouve le travail d'henry levin assez honorable par moment maniant avec respect la camera et dirige allègrement le jeu d'acteur,'avais assez appreciez ce western dès que je le vit a l'epoque dans un cinéma de quartier
je propose et recherche tous westerns américains.
ymdb.com/user_top20_view.asp?usersid=20346
(copyrigth by james)
ymdb.com/user_top20_view.asp?usersid=20346
(copyrigth by james)
LA HAINE DES DESPERADOS/THE DESPERADOS(1968) HENRY LEVIN
Ce western apparamment non diffusé par la tv(pas de fiche) est considéré par CHARLES FORD comme un des principaux de l'année 1968.
Il semble qu'il existe en VHS us et qu'il soit très mauvais selon IMDB et peut ètre certains forumers!
Il semble qu'il existe en VHS us et qu'il soit très mauvais selon IMDB et peut ètre certains forumers!
Errare humanum est...
Re: LA HAINE DES DESPERADOS/THE DESPERADOS(1968) HENRY LEVIN
Tiens, j'ai déjà trouvé une affiche.
Re: LA HAINE DES DESPERADOS/THE DESPERADOS(1968) HENRY LEVIN
La vhs anglaise ( pal ) achetée à Londres en 1998.
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Re: LA HAINE DES DESPERADOS/THE DESPERADOS(1968) HENRY LEVIN
Au terme de la guerre de Sécession, Parson Galt, ancien officier sudiste ayant renoncé à l'armée, a groupé sous l'autorité qu'il s'est conférée tous les guérilleros mécontents, brigands, déserteurs et " désespérés ", habitués à la seule loi du colt et de la brutalité. Seul, son fils David s'oppose à ces violences répétées, incendies et pillages de villages, et ose contester l'autorité de son père soutenu par ses deux cadets, Jacob et Adam. Emprisonné pour rébellion, David réussit à s'enfuir et gagne le Texas où il va mener avec sa jeune épouse Laura, la vie d'un honnête fermier, non loin de la petite ville de Chilton.
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CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
Nathan Brittles a écrit :Il sort chez SIDONIS mais je ne me risquerai pas à l'acheter...
Eh bah t'as eu tort mais tous les goûts sont dans la nature!
Certes c'est assez inattendu et j'ai eu le sentiment que les producteurs copiaient ici LES CRUELS de CORBUCCI:Jack Palance,comme Joseph Cotten,est un ancien officier Sudiste avec trois fils dont un qui veut s'en aller car il voit que son père est devenu dingue sous prétexte de vouloir contnuer une guerre perdue et on a aussi de bons amis de retour(Neville Brand,pour une fois pas en salaud)...On aime ou pas mais franchement... Mr PALANCE!
Il est vrai qu'il y a aussi le souci de qq brefs passages en VOST par moments mais c'est rapide!
- U.S. Marshal Cahill
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
"Le sosie de Carla BRUNI qui joue mal" comme disait la critique des Années Laser...
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
Achat chez Gibert du dvd Sidonis hier apm.
Je n'ai pas toujours été tendre sur la présentation des bonus avec Patrick Brion notamment sur le son.
Ici je le trouve parfait ce bonus, autant sur la forme, gros plan sur fond noir, paroles claires, que sur le fond avec un panorama sur l'auteur, le film et Jack Palance et surtout la différence entre paysages européens et us pour l'ambiance naturelle du western. Même si j'apprécie bien des westerns européens.
Brion a eu raison de citer Neville Brand qui fait une belle prestation et qui est bien doublé contrairement à Jack Palance ce qui accentue son surjeu hystérique surtout sur la fin, malgré de bons passages. Ce film m'a déçu car j'aime bien Palance. Mais en vost c'est un peu mieux.
La prometteuse horde du générique laisse place à un désenchantement sur le film lequel a en revanche une belle fin, une belle chute. Encore que l'on pourrait noter que le fils aîné arrive entre des rochers et que le plan de chute montre un sommet plat avec un seul roc ressortant mais pas du côté de l'arrivée au sommet précédente. .
Mais la scène va bien jusqu'au générique de fin qui honore en images le rôle de Neville Brand sauf que son nom est cité loin dans la liste.
La violence est ici montrée de façon moins réaliste que dans La horde sauvage avec une réalisation plate. On accroche à certains moments comme la scène de baignade et du dialogue amoureux qui suit par la jolie blonde (Sylvia Syms, 80 ans cette année je crois) qui rehausse la prestation de son partenaire Vince Edwards qui pour le reste a un jeu insipide.
L'orde des scènes tournées apparaît quant aux traces de trous sur la banderole County Elections May 5.
Une bonne scène quand le Marshal (Neville Brand) fait venir David Galt à son bureau, l'ensemble avec les adjoints et le dialogue est bien tourné. Autre belle scène lors de la remise d'étoile de Marshal adjoint.
L'attaque de banque est intéressante aussi.
Le jeune frère Galt (Christian Roberts) tire bien son épingle du jeu.
Le plus horripilant est souvent la musique qui finalement contribue beaucoup à la déception.
Alors qu'en revoyant en Vost je note de bonnes scènes comme sous la tente. Il manque le liant hollywoodien!
Je n'ai pas toujours été tendre sur la présentation des bonus avec Patrick Brion notamment sur le son.
Ici je le trouve parfait ce bonus, autant sur la forme, gros plan sur fond noir, paroles claires, que sur le fond avec un panorama sur l'auteur, le film et Jack Palance et surtout la différence entre paysages européens et us pour l'ambiance naturelle du western. Même si j'apprécie bien des westerns européens.
Brion a eu raison de citer Neville Brand qui fait une belle prestation et qui est bien doublé contrairement à Jack Palance ce qui accentue son surjeu hystérique surtout sur la fin, malgré de bons passages. Ce film m'a déçu car j'aime bien Palance. Mais en vost c'est un peu mieux.
La prometteuse horde du générique laisse place à un désenchantement sur le film lequel a en revanche une belle fin, une belle chute. Encore que l'on pourrait noter que le fils aîné arrive entre des rochers et que le plan de chute montre un sommet plat avec un seul roc ressortant mais pas du côté de l'arrivée au sommet précédente. .
Mais la scène va bien jusqu'au générique de fin qui honore en images le rôle de Neville Brand sauf que son nom est cité loin dans la liste.
La violence est ici montrée de façon moins réaliste que dans La horde sauvage avec une réalisation plate. On accroche à certains moments comme la scène de baignade et du dialogue amoureux qui suit par la jolie blonde (Sylvia Syms, 80 ans cette année je crois) qui rehausse la prestation de son partenaire Vince Edwards qui pour le reste a un jeu insipide.
L'orde des scènes tournées apparaît quant aux traces de trous sur la banderole County Elections May 5.
Une bonne scène quand le Marshal (Neville Brand) fait venir David Galt à son bureau, l'ensemble avec les adjoints et le dialogue est bien tourné. Autre belle scène lors de la remise d'étoile de Marshal adjoint.
L'attaque de banque est intéressante aussi.
Le jeune frère Galt (Christian Roberts) tire bien son épingle du jeu.
Le plus horripilant est souvent la musique qui finalement contribue beaucoup à la déception.
Alors qu'en revoyant en Vost je note de bonnes scènes comme sous la tente. Il manque le liant hollywoodien!
- U.S. Marshal Cahill
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
Vu dans des conditions difficiles, le .avi que j'ai téléchargé semble être un transcodage foireux d'une source 60 Hz, donc avec une image saccadée et un son également saccadé, bien que compréhensible. Ça m'apprendra à télécharger.
À part ça, le film m'a semblé assez moyen, avec un acteur principal totalement insipide. Heureusement Jack Palance apporte un peu de folie la dedans. La fin est quelque peu étonnante, mais sinon rien de folichon à se mettre sous la dent.
À part ça, le film m'a semblé assez moyen, avec un acteur principal totalement insipide. Heureusement Jack Palance apporte un peu de folie la dedans. La fin est quelque peu étonnante, mais sinon rien de folichon à se mettre sous la dent.
- bigdede
- Eclaireur
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Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
On peu plus haut dans l'encart du journal de programmes télé, il est dit:
Un ahurissant ratage. Mise en scène à la truelle, festival de cabotinage et le reste à l'avenant.
Je suis assez d'accord et en matière de cabotinage c'est bien lui qui décroche le pompon.
Un ahurissant ratage. Mise en scène à la truelle, festival de cabotinage et le reste à l'avenant.
Je suis assez d'accord et en matière de cabotinage c'est bien lui qui décroche le pompon.
What was the difference between the West of motion pictures and the West as you knew it ?
There's only one thing I can answer that with, and that's another question. What's the difference between daylight and dark ?
Ted French to Kevin Brownlow
There's only one thing I can answer that with, and that's another question. What's the difference between daylight and dark ?
Ted French to Kevin Brownlow
Re: La Haine des desperados - The Desperados - 1968 - Henry Levin
Oui un western absolument abominable à tous niveaux.