Un homme nommé Cheval - A man called Horse - 1970 - Elliott Silverstein
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- Cole Armin
- Maire
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Un homme nommé Cheval - A man called Horse - 1970 - Elliott Silverstein
Que pensez vous de ce western avec Richard Harris réalisé par Elliott Silverstein:
Un homme nommé cheval (A Man Called Horse) 1970
Un homme nommé cheval (A Man Called Horse) 1970
Modifié en dernier par Cole Armin le 08 avr. 2006 15:43, modifié 1 fois.
"Attends d'être aussi vieux que moi pour parler comme moi"
Walter Brennan dans La Rivière rouge
Discutez cinéma!
Walter Brennan dans La Rivière rouge
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Re: Un homme nommé cheval (A Man Called Horse) 1970
Moi je suis très fan de ce western ainsi que de la sequelle qu'il y fut fait le retour d'un homme nomé cheval" je trouve l'histoire des plus convaincante pour un western qui quelque part ce veut humaniste,je recommande ce western
je propose et recherche tous westerns américains.
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(copyrigth by james)
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- As de la gâchette
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- Localisation : lyon
"Un homme nommé cheval"
ma note : 8,5/10
c'est pour moi un western saisissant car violent, interprété avec force par Richard Harris; une vraie réussite tant au niveau des scènes d'action que de la psychologie...
la suite "La revanche d'un homme nommé cheval" m'a parut extrêment mauvaise : histoire simpliste, sentiments traduits de manière grossière, peu crédible...
c'est pour moi un western saisissant car violent, interprété avec force par Richard Harris; une vraie réussite tant au niveau des scènes d'action que de la psychologie...
la suite "La revanche d'un homme nommé cheval" m'a parut extrêment mauvaise : histoire simpliste, sentiments traduits de manière grossière, peu crédible...
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- Cowboy
- Messages : 254
- Enregistré le : 23 août 2004 16:46
Je n'apprecie pas non plus cet acteur,mais c'est l'histoire que j'aimejulien léonard a écrit :Là je vais dénoter : j'ai pas aimé, malheureusement... comme "Little big man", j'ai pas aimé...
(sauf dans "Impitoyable" et "Orca"...)... alors...Mais cela dit pour le film ici présent, faut dire que j'aime pas Richard Harris
Voilou...
je propose et recherche tous westerns américains.
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Il est parti dans les oubliettes ,voici la fiche télé
un western admirable et unique,l'aventure d'un lord Anglais capturé par des indiens et par la bravoure il gagne la confiance des indiens.Un très beau film sur les rites indiens
Et un très bon travail de ELLIOT SILVERSTEIN
un western admirable et unique,l'aventure d'un lord Anglais capturé par des indiens et par la bravoure il gagne la confiance des indiens.Un très beau film sur les rites indiens
Et un très bon travail de ELLIOT SILVERSTEIN
Modifié en dernier par Jicarilla le 13 nov. 2008 10:31, modifié 1 fois.
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
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Saviez-vous qu'il y a un très grand acteur québécois dans ce long-métrage ?
Jean Gascon dans le rôle de Batise
Biographie
Jean Gascon, acteur et metteur en scène (Montréal, Qc, 21 déc. 1921 -- Stratford, Ont., 20 avril 1988). Pendant leurs études au Collège Sainte-Marie, Jean Gascon et Jean-Louis ROUX attirent l'attention en jouant dans plusieurs pièces. En 1942, ils obtiennent un rôle dans la pièce L'Échange, mise en scène par Ludmilla Pitoëff et présentée par les Compagnons de Saint-Laurent. Ils s'inscrivent à des cours de médecine, mais continuent à jouer avec les Compagnons. En 1946, Ludmilla Pitoëff revient à Montréal avec sa compagnie. Elle fait jouer Jean Gascon et Jean-Louis Roux à ses côtés dans Phèdre et Le Pain dur. Elle parvient à les convaincre d'aller suivre des cours professionnels en France. Jean-Louis Roux reçoit une bourse et part en 1946, Jean Gascon le suit l'année suivante. Gascon étudie avec le professeur Julien Bertheau à l'École du Vieux-Colombier, située à Copeau, part en tournée avec la compagnie de Ludmilla Pitoëff, joue pendant une saison au Centre dramatique de Rennes, puis avec la compagnie parisienne Grenier Hussenot.
En 1951, de retour au Canada, Jean Gascon, Jean-Louis Roux, Éloi de GRANDMONT et quelques autres fondent le THÉÂTRE DU NOUVEAU MONDE (TNM), dont Jean Gascon est le directeur. Au début de l'année 1952, ils ouvrent l'École du TNM, remplacée ensuite par l'École nationale de théâtre du Canada. Jean Gascon en sera le directeur de 1960 à 1963. Il dirige le TNM jusqu'en 1966, tout en continuant à jouer des rôles majeurs dans plusieurs pièces, parmi lesquelles L'Avare, Don Juan et Richard II. En même temps, il met en scène plusieurs pièces, notamment Tartuffe, Venise sauvée, L'Opéra de quat'sous et Klondyke. Sous sa direction, la compagnie participe à plusieurs festivals, et, en 1958, elle fait une tournée en Europe, aux États-Unis et au Canada.
En 1956, Jean Gascon joue dans Henry V au FESTIVAL DE STRATFORD. Il y retourne pour mettre en scène Othello (1959) et The Comedy of Errors (1964; v.f. La Comédie des erreurs). En 1968, il succède à Michael Langham en tant que directeur artistique du Festival de Stratford, poste qu'il occupera jusqu'en 1974. En 1977, il quitte le Festival et devient directeur du CENTRE NATIONAL DES ARTS à Ottawa. Il met en scène le Barbier de Séville, en 1986, et Tosca, en 1987, à l'Opéra de Montréal. De retour à Stratford pour y mettre en scène My Fair Lady, il meurt d'une crise cardiaque. Jean Gascon a été nommé compagnon de l'Ordre du Canada et a reçu de nombreux prix honorifiques, dont le prix Victor-Morin, le prix de la Banque Royale, le PRIX MOLSON et le prix du Québec.
Jean Gascon
Filmographie
À corps perdu (1988)
The Lucky Star (La belle étoile) (1980) .... Le prête
Cordélia (1980) .... Juge Wurtele
Maria (1977) (TV)
L'absence (1976) .... Paul
A Man Called Horse (Un homme nommé Cheval) (1970) .... Batise
Henry V (1966) (TV)
Louis-Hippolyte Lafontaine (1962)
Louis-Joseph Papineau: The Demi-God (Louis-Joseph Papineau - Le demi-dieu) (1961)
Le colombier (1957) Serie TV .... Anatole Varin
Jean Gascon en 1956
Jean Gascon dans le rôle de Batise
Biographie
Jean Gascon, acteur et metteur en scène (Montréal, Qc, 21 déc. 1921 -- Stratford, Ont., 20 avril 1988). Pendant leurs études au Collège Sainte-Marie, Jean Gascon et Jean-Louis ROUX attirent l'attention en jouant dans plusieurs pièces. En 1942, ils obtiennent un rôle dans la pièce L'Échange, mise en scène par Ludmilla Pitoëff et présentée par les Compagnons de Saint-Laurent. Ils s'inscrivent à des cours de médecine, mais continuent à jouer avec les Compagnons. En 1946, Ludmilla Pitoëff revient à Montréal avec sa compagnie. Elle fait jouer Jean Gascon et Jean-Louis Roux à ses côtés dans Phèdre et Le Pain dur. Elle parvient à les convaincre d'aller suivre des cours professionnels en France. Jean-Louis Roux reçoit une bourse et part en 1946, Jean Gascon le suit l'année suivante. Gascon étudie avec le professeur Julien Bertheau à l'École du Vieux-Colombier, située à Copeau, part en tournée avec la compagnie de Ludmilla Pitoëff, joue pendant une saison au Centre dramatique de Rennes, puis avec la compagnie parisienne Grenier Hussenot.
En 1951, de retour au Canada, Jean Gascon, Jean-Louis Roux, Éloi de GRANDMONT et quelques autres fondent le THÉÂTRE DU NOUVEAU MONDE (TNM), dont Jean Gascon est le directeur. Au début de l'année 1952, ils ouvrent l'École du TNM, remplacée ensuite par l'École nationale de théâtre du Canada. Jean Gascon en sera le directeur de 1960 à 1963. Il dirige le TNM jusqu'en 1966, tout en continuant à jouer des rôles majeurs dans plusieurs pièces, parmi lesquelles L'Avare, Don Juan et Richard II. En même temps, il met en scène plusieurs pièces, notamment Tartuffe, Venise sauvée, L'Opéra de quat'sous et Klondyke. Sous sa direction, la compagnie participe à plusieurs festivals, et, en 1958, elle fait une tournée en Europe, aux États-Unis et au Canada.
En 1956, Jean Gascon joue dans Henry V au FESTIVAL DE STRATFORD. Il y retourne pour mettre en scène Othello (1959) et The Comedy of Errors (1964; v.f. La Comédie des erreurs). En 1968, il succède à Michael Langham en tant que directeur artistique du Festival de Stratford, poste qu'il occupera jusqu'en 1974. En 1977, il quitte le Festival et devient directeur du CENTRE NATIONAL DES ARTS à Ottawa. Il met en scène le Barbier de Séville, en 1986, et Tosca, en 1987, à l'Opéra de Montréal. De retour à Stratford pour y mettre en scène My Fair Lady, il meurt d'une crise cardiaque. Jean Gascon a été nommé compagnon de l'Ordre du Canada et a reçu de nombreux prix honorifiques, dont le prix Victor-Morin, le prix de la Banque Royale, le PRIX MOLSON et le prix du Québec.
Jean Gascon
Filmographie
À corps perdu (1988)
The Lucky Star (La belle étoile) (1980) .... Le prête
Cordélia (1980) .... Juge Wurtele
Maria (1977) (TV)
L'absence (1976) .... Paul
A Man Called Horse (Un homme nommé Cheval) (1970) .... Batise
Henry V (1966) (TV)
Louis-Hippolyte Lafontaine (1962)
Louis-Joseph Papineau: The Demi-God (Louis-Joseph Papineau - Le demi-dieu) (1961)
Le colombier (1957) Serie TV .... Anatole Varin
Jean Gascon en 1956
Non je connais pas ,un nom très Français et une petite ressemblance avec CORNEL WILDE
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
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Merci Personne pour cette très belle capture, c'est très gentil. Jean Gascon était un excellent acteur qui pouvait jouer aussi bien en anglais dans une pièce de Shakespeare qu'en français dans une pièce de Molière. J'ai eu l'opportunité de le voir jouer et je peux vous dire qu'il était étonnant sur scène.
Cet homme de théâtre n'a pas eu une grande carrière cinématographique et c'est malheureux puisque je me demande ce qu'il aurait pu faire s'il c'était investi d'avantage dans le monde du 7e art, mais comme tu as constaté dans ce western Personne, il y joue avec maîtrise son personnage et donne à Batise beaucoup de couleur.
Cet homme de théâtre n'a pas eu une grande carrière cinématographique et c'est malheureux puisque je me demande ce qu'il aurait pu faire s'il c'était investi d'avantage dans le monde du 7e art, mais comme tu as constaté dans ce western Personne, il y joue avec maîtrise son personnage et donne à Batise beaucoup de couleur.
Une affiche de 60x80 identique à Cole mais cadré pour les candidats aux montages des jaquettes
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Re: Un homme nommé cheval - A Man Called Horse - 1970 - Elliott Silverstein
Un très bon film, pas de doute.
Et surtout, des costumes, un témoignage des traditions,des coutumes...
C'est une leçon d'ethnographie que ce film!
Les tenues de Main-Jaune sont fantastiques.
Et surtout, des costumes, un témoignage des traditions,des coutumes...
C'est une leçon d'ethnographie que ce film!
Les tenues de Main-Jaune sont fantastiques.