Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Mon seul reproche: jamais accéder au delà des 15 première minutes.....encore un gros effort à fournir pour le voir ...
Un fiche TV que je sors de mes recoins perdus
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PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Si celà peut te motiver, Stella Stevens se déshabille bien plus tard!Jica a dit:
Mon seul reproche: jamais accéder au delà des 15 première minutes
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Pour info, je crois que Stella Stevens était une ancienne Playmate.
"celui qui a inventé les spaghettis c'est pas la moitié d'un con !!!!" Trigado dans Far West Story
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
J'ai du zatter jusque là à l'époque comme je me connais si bienVin a écrit :Si celà peut te motiver, Stella Stevens se déshabille bien plus tard!Jica a dit:
Mon seul reproche: jamais accéder au delà des 15 première minutes
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
pour le plaisir de revoir Stella..
Patience....elle arrive...
voilà, ouvrez grand les
(tiré de la version longue censurée, très rare *)
(* joke )
Patience....elle arrive...
voilà, ouvrez grand les
(tiré de la version longue censurée, très rare *)
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CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Jica va regarder le film jusqu'au bout maintenant!
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Je viens de voir Un nommé Cable Hogue pour la première fois.
L'histoire :
Arizona, début du 20ème siècle. Le prospecteur Cable Hogue (Jason Robards) est trahi par ses collègues Taggart (L.Q. Jones) et Bowen (Strother Martin) qui lui volent cheval et affaires avant de l’abandonner, sans eau, en plein désert. Cable Hogue erre des journées entières, priant pour qu'on lui donne de l’eau. Miraculeusement, alors que son heure semblait venue, il trouve un point d’eau alors inconnu pour le reste de la population des villes voisines. Sa source se trouvant sur le point de passage de la diligence, Cable Hogue décide de faire payer son usage par tous ceux qui y passent. Son premier client est un prêtre nommé Joshua (David Warner), personnage étrange et sympathique...
Points positifs :
- l'histoire plutôt originale se révèle attachante avec un intérêt grandissant.
- les acteurs sont épatants à commencer par Jason "Cheyenne" Robards qui, parti de rien, démontre que n'importe qui peut s'en sortir s'il s'en donne les moyens. David Warner en prêtre excentrique et porté sur la chair est l'élément comique du western. Stella Stevens est craquante à souhait et nous livre ses charmes sur un plateau dorée
- des situations comiques ponctuent cette histoire riche d'enseignements sur la vie.
- le ralenti des scènes, si cher à Sam Peckinpah, est remplacé par des instants de scènes comiques en accéléré, style dessin animé.
Points négatifs :
- à part la déception des fans du duo Peckinpah-violence, je n'en vois aucun. Si, pourquoi cette fin ?
Bilan :
Habitué à nous livrer des films autant bourré d'actions que de violence, Sam Peckinpah nous livre une fable comico-dramatique où l'action est remplacée par de la réflexion et la violence par l'érotisme troublant de certaines scènes (merci Stella ). Ce western m'a ému autant qu'il m'a fait rire. J'ai beaucoup ce western désertique et assoiffant. Note : 9/10
L'histoire :
Arizona, début du 20ème siècle. Le prospecteur Cable Hogue (Jason Robards) est trahi par ses collègues Taggart (L.Q. Jones) et Bowen (Strother Martin) qui lui volent cheval et affaires avant de l’abandonner, sans eau, en plein désert. Cable Hogue erre des journées entières, priant pour qu'on lui donne de l’eau. Miraculeusement, alors que son heure semblait venue, il trouve un point d’eau alors inconnu pour le reste de la population des villes voisines. Sa source se trouvant sur le point de passage de la diligence, Cable Hogue décide de faire payer son usage par tous ceux qui y passent. Son premier client est un prêtre nommé Joshua (David Warner), personnage étrange et sympathique...
Points positifs :
- l'histoire plutôt originale se révèle attachante avec un intérêt grandissant.
- les acteurs sont épatants à commencer par Jason "Cheyenne" Robards qui, parti de rien, démontre que n'importe qui peut s'en sortir s'il s'en donne les moyens. David Warner en prêtre excentrique et porté sur la chair est l'élément comique du western. Stella Stevens est craquante à souhait et nous livre ses charmes sur un plateau dorée
- des situations comiques ponctuent cette histoire riche d'enseignements sur la vie.
- le ralenti des scènes, si cher à Sam Peckinpah, est remplacé par des instants de scènes comiques en accéléré, style dessin animé.
Points négatifs :
- à part la déception des fans du duo Peckinpah-violence, je n'en vois aucun. Si, pourquoi cette fin ?
Bilan :
Habitué à nous livrer des films autant bourré d'actions que de violence, Sam Peckinpah nous livre une fable comico-dramatique où l'action est remplacée par de la réflexion et la violence par l'érotisme troublant de certaines scènes (merci Stella ). Ce western m'a ému autant qu'il m'a fait rire. J'ai beaucoup ce western désertique et assoiffant. Note : 9/10
Auteur de L'Inconnu oublié - Éditions Publibook http://forum.westernmovies.fr/viewtopic ... 14&t=10165
"Quelle ingratitude ! Quand je pense au nombre de fois où je t'ai sauvé la vie..." Clint Eastwood - Le bon, la brute et le truand
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Bon film comique, Cheyenne est excellent, Stella attachante, mais j'attend autre chose d'un western (ma note : 4).
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Salut les gringos;
Comme la plupart d'entre vous je ne me permettrai pas de critiquer MoooOssieur peckinpah, ni Moossieur Robards.
Au delà de la comédie (j'ai beaucoup aimé l'invention de Robards pour s'épargner la vaisselle), j'y ai vu le parcours d'un homme face à ses croyances à Dieu; Il est laissé pour mort, il prie, et l'arrivée de la source est pour lui comme un miracle. il tombe sur un curé un peu faux dévôt. Il pardonne une femme de mauvaise vie alors que tout le monde l'a chassé.
je ne me souviens pas de tous les détails, mais il m'a semblé qu'on pouvait en faire une lecture comme un chemin de croix pour notre brave Robards.
Encore un Peckinpah qui ne décoit pas bien qu'il ne soit q' "une" comédie
Allélouia mes bien chers frères.
Comme la plupart d'entre vous je ne me permettrai pas de critiquer MoooOssieur peckinpah, ni Moossieur Robards.
Au delà de la comédie (j'ai beaucoup aimé l'invention de Robards pour s'épargner la vaisselle), j'y ai vu le parcours d'un homme face à ses croyances à Dieu; Il est laissé pour mort, il prie, et l'arrivée de la source est pour lui comme un miracle. il tombe sur un curé un peu faux dévôt. Il pardonne une femme de mauvaise vie alors que tout le monde l'a chassé.
je ne me souviens pas de tous les détails, mais il m'a semblé qu'on pouvait en faire une lecture comme un chemin de croix pour notre brave Robards.
Encore un Peckinpah qui ne décoit pas bien qu'il ne soit q' "une" comédie
Allélouia mes bien chers frères.
"Quand on tire, on raconte pas sa vie..."
- lasbugas
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Theatrical trailer - Bande annonce
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Je suis étonné de voir, que si peu a été écrit sur cet excellent Western de Sam Peckinpah beaucoup d'images du message de USMC manquent.
Pourtant les personnages dans le film ont une profondeur qu'on ne trouve pas souvent dans des Western et le film ne manque pas d'humour.
Cable Hogue est abandonné dans le désert par ses deux comparses, sans fusil, nourriture, ni eau. Pendant plusieurs jours il progresse dans
le désert du Nord de l'Arizona en priant celui d'en haut pour trouver de l'eau. Il est au bout de ses forces lorsqu'il s'évanouit. Quand il se réveille
il voit que sa chaussure est plein de boue. L'eau doit se trouver très près, et il trouve la source dans le sable. Hogue a déjà passé la cinquantaine,
ses vieux réflexes de pionnier lui donnent l'idée d'agrandir la source et d'y fonder une Station de relais pour la diligence, qui passe à quelques
mètres. Mais pour ça, il a besoin de fonds et il se rend dans la ville la plus proche pour trouver cet argent. Là, il observe une jolie croquante
fille, qui se prostitue, il fait sa connaissance de plus près. Il réussit son projet, est secondé par un prédicateur. L'affaire prospère. Hildy son
amie vient de le voir, ils s'estiment tous les deux et vivent trois semaines heureuses. Mais Hildy veut devenir riche et part pour se marier
à San Francisco. Hogue il préfère rester, pour attendre ses deux compagnons qui l'avaient abandonné dans le désert, pour se venger.
L'attente ne sera pas trop longue, se vengera-t-il ? Hildy devenue une riche veuve, retournera en Arizona pour retrouver Hogue, sera-t-il
prêt à la suivre cette fois?
Excellents acteurs, beaux paysages, belles balades chantées. Un très honnête Jason Robards, humain. Une espiègle Stella Stevens complice
de Hobarts. Les deux heures passent comme un éclair.
Stella Stevens
GILA Monster
traduction du titre allemand = Abgrechnet wird zum Schluss = Le Règlement de Compte sera fait à la fin
Pourtant les personnages dans le film ont une profondeur qu'on ne trouve pas souvent dans des Western et le film ne manque pas d'humour.
Cable Hogue est abandonné dans le désert par ses deux comparses, sans fusil, nourriture, ni eau. Pendant plusieurs jours il progresse dans
le désert du Nord de l'Arizona en priant celui d'en haut pour trouver de l'eau. Il est au bout de ses forces lorsqu'il s'évanouit. Quand il se réveille
il voit que sa chaussure est plein de boue. L'eau doit se trouver très près, et il trouve la source dans le sable. Hogue a déjà passé la cinquantaine,
ses vieux réflexes de pionnier lui donnent l'idée d'agrandir la source et d'y fonder une Station de relais pour la diligence, qui passe à quelques
mètres. Mais pour ça, il a besoin de fonds et il se rend dans la ville la plus proche pour trouver cet argent. Là, il observe une jolie croquante
fille, qui se prostitue, il fait sa connaissance de plus près. Il réussit son projet, est secondé par un prédicateur. L'affaire prospère. Hildy son
amie vient de le voir, ils s'estiment tous les deux et vivent trois semaines heureuses. Mais Hildy veut devenir riche et part pour se marier
à San Francisco. Hogue il préfère rester, pour attendre ses deux compagnons qui l'avaient abandonné dans le désert, pour se venger.
L'attente ne sera pas trop longue, se vengera-t-il ? Hildy devenue une riche veuve, retournera en Arizona pour retrouver Hogue, sera-t-il
prêt à la suivre cette fois?
Excellents acteurs, beaux paysages, belles balades chantées. Un très honnête Jason Robards, humain. Une espiègle Stella Stevens complice
de Hobarts. Les deux heures passent comme un éclair.
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- Rancher
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Une photo qui irait bien dans le topic, Les scenes sensuelles et tres osées dans le western. RU.S. Marshal Cahill a écrit :pour le plaisir de revoir Stella..
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- Rancher
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Ces deux l 'a aussi, merçi de les transférés. Rlasso a écrit :
Ah j'ai loupé la deuxieme , c' était la sixieme dans la série de lasso.
- Yosemite
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Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Cela faisait un moment que je me disais qu'il fallait revoir ce western que j'avais bien aimé il y a quelques années.
C'est fait.
Etonnant, je m'attendais, comme Lasso plus haut, à davantage de prose sur ce Peckinpah. Moi qui n'aime pas ce réalisateur je trouve ce film magnifique. Son meilleur western oserais-je penser. Je lui pardonnerai même l'introduction de ces satanées bagnoles tant ici elles servent la réflexion de l'inénarrable Hogue qui, en une seconde constate que ce n'est pas d'eau que ces tacots s'abreuvent mais de "gazoline". Un constat désastreux vis à vis de sa modeste entreprise mais immensément porteur de promesses puisqu'il ratifie le temps venu de se diriger vers San Francisco en compagnie de la belle Hildy (Stella Stevens).
Et pourtant non, il est ancré dans le désert, et la mort projetée de sa boutique par la bagnole le traquera malignement au détour d'un levier de frein mal verrouillé.
Le désert, à Cable Hogue, c'est son destin. Sa mère presque, puisque c'est ici qu'est née son humble grandeur, c'est l'eau du désert qui l'aura fait passer de l'ombre à la lumière. Impossible de trahir le désert, une mère de sable si je puis me permettre.
On sent bien que face à ses faux amis qui le menacent de leur arme, il hésite à prendre le dessus. Se faisant traiter de lâche par eux, on sent combien ce terme le touche. On sent que sa difficulté d'existence le hante le Cable.
Il sera beau jusqu'au bout dans ce rôle Jason Robards, émouvant quand il court avec son bras replié comme en pleine errance, je me demande s'il n'aura pas inspiré Tuco (Eli Wallach) courant au milieu de ces centaines de tombes dans "Le Bon, la Brute et le Truand".
Jason Robards, un très bel acteur dont on comprend instantanément lors de sa rencontre avec Hildy que ces deux vont tomber amoureux même si leur première rencontre se conclura de manière, disons... fracassante !
Deux marginaux épris, l'un d'ici et l'autre d'ailleurs, se rencontrent. Je ne suis plus sûr du tout mais il me semble que c'est Lelouch qui rappelait que les marges servent à relier les livres.
C'est bien un des sujets ici.
Superbe et très émouvant western.
Yo.
C'est fait.
Etonnant, je m'attendais, comme Lasso plus haut, à davantage de prose sur ce Peckinpah. Moi qui n'aime pas ce réalisateur je trouve ce film magnifique. Son meilleur western oserais-je penser. Je lui pardonnerai même l'introduction de ces satanées bagnoles tant ici elles servent la réflexion de l'inénarrable Hogue qui, en une seconde constate que ce n'est pas d'eau que ces tacots s'abreuvent mais de "gazoline". Un constat désastreux vis à vis de sa modeste entreprise mais immensément porteur de promesses puisqu'il ratifie le temps venu de se diriger vers San Francisco en compagnie de la belle Hildy (Stella Stevens).
Et pourtant non, il est ancré dans le désert, et la mort projetée de sa boutique par la bagnole le traquera malignement au détour d'un levier de frein mal verrouillé.
Le désert, à Cable Hogue, c'est son destin. Sa mère presque, puisque c'est ici qu'est née son humble grandeur, c'est l'eau du désert qui l'aura fait passer de l'ombre à la lumière. Impossible de trahir le désert, une mère de sable si je puis me permettre.
On sent bien que face à ses faux amis qui le menacent de leur arme, il hésite à prendre le dessus. Se faisant traiter de lâche par eux, on sent combien ce terme le touche. On sent que sa difficulté d'existence le hante le Cable.
Il sera beau jusqu'au bout dans ce rôle Jason Robards, émouvant quand il court avec son bras replié comme en pleine errance, je me demande s'il n'aura pas inspiré Tuco (Eli Wallach) courant au milieu de ces centaines de tombes dans "Le Bon, la Brute et le Truand".
Jason Robards, un très bel acteur dont on comprend instantanément lors de sa rencontre avec Hildy que ces deux vont tomber amoureux même si leur première rencontre se conclura de manière, disons... fracassante !
Deux marginaux épris, l'un d'ici et l'autre d'ailleurs, se rencontrent. Je ne suis plus sûr du tout mais il me semble que c'est Lelouch qui rappelait que les marges servent à relier les livres.
C'est bien un des sujets ici.
Superbe et très émouvant western.
Yo.
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- Tunique bleue
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- Enregistré le : 15 nov. 2015 1:38
Re: Un Nommé Cable Hogue - The Ballad of Cable Hogue - 1969 - Sam Peckinpah
Pour commencer, un western magnifique visuellement, c'est orange fort, bref le western en mode artistique voir merveilleux comme je l'ai ressenti.
Le ton est assez souvent comique, et doux, un peu différent de ce que fait Sam Peckinpah habituellement. Les chansons sont splendides, et jouent aussi justement a cette univers qu'il nous propose, tel un conte, où l'on suit Cable Hogue et son business, son amour, son amitié. Avec sa, quelques scènes inoubliables comme celle avec son ami Joshua allant de femmes en femmes, ou les relations entre Cable Hogue et Hildy, jusqu'au
Le ton est assez souvent comique, et doux, un peu différent de ce que fait Sam Peckinpah habituellement. Les chansons sont splendides, et jouent aussi justement a cette univers qu'il nous propose, tel un conte, où l'on suit Cable Hogue et son business, son amour, son amitié. Avec sa, quelques scènes inoubliables comme celle avec son ami Joshua allant de femmes en femmes, ou les relations entre Cable Hogue et Hildy, jusqu'au
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