Le Brigand bien-aimé - Jesse James - 1939 - Henry King
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- John Mallory
- Guerrier indien
- Messages : 485
- Enregistré le : 27 déc. 2005 10:20
- Localisation : Lausanne (CH)
Le Brigand bien-aimé - Jesse James - 1939 - Henry King
L'histoire de Jesse et Franck James, interprétés par Tyrone Power et Henry Fonda. A la fin de la guerre de Sécession, les grandes compagnies de chemins de fer construisent de nouvelles lignes et chassent les propriétaires de terrain sur lequel doivent passer les voies. Des émissaires d'une de ces compagnies tuent la mère de Franck et Jesse, qui refusait de céder son domaine. Ces derniers se vengent et deviennent hors-la-lois.
Un très bon moment que ce grand classique du western que nous offre Henry King. Le film ne se concentre pas sur les attaques de trains et de banques, mais plutôt sur les personnages eux-mêmes et leur psycologie. On voit ces prsonnages évoluer, en particulier Jesse James. Nancy kelly interprète Zee, la jeune femme amoureuse de Jesse qui le suivra dans sa cavale et l'épousera par la suite. Randolph Scott campe un shériff plutôt sympathique, mais j'ai trouvé son rôle un peu ambigu. En effet, il est également amoureux de Zee, mais il semble entretenir une sorte d'amitié envers jesse james pourtant son rival et bandit de surcroît. A signaler que c'est John Carradine qui a la lourde de tâche d'interpréter "le traître".
Un grand western pour moi.
Un très bon moment que ce grand classique du western que nous offre Henry King. Le film ne se concentre pas sur les attaques de trains et de banques, mais plutôt sur les personnages eux-mêmes et leur psycologie. On voit ces prsonnages évoluer, en particulier Jesse James. Nancy kelly interprète Zee, la jeune femme amoureuse de Jesse qui le suivra dans sa cavale et l'épousera par la suite. Randolph Scott campe un shériff plutôt sympathique, mais j'ai trouvé son rôle un peu ambigu. En effet, il est également amoureux de Zee, mais il semble entretenir une sorte d'amitié envers jesse james pourtant son rival et bandit de surcroît. A signaler que c'est John Carradine qui a la lourde de tâche d'interpréter "le traître".
Un grand western pour moi.
LE BRIGAND BIEN AIME ????
Pas tant que ça visiblement, à part John Mallory qui a déposé sa critique.
Il s'agit du film sorti en 1939.
Or il existe un autre film de 1957 qui porte le même titre et traite aussi de Jesse James (réalisation : Nicholas Ray).
Il est sorti il y a peu en DVD en Zone 2 en France (demain en DVD Zone 1 aux USA).
Quelqu'un le connaît-il ?
Pourrait-il faire l'objet d'une critique sur le forum CRITIQUEZ LES FILMS QUE VOUS AVEZ VUS ?
Cela m'aiderait à me faire une idée du film. Certains ouvrages en parle comme un "classique".
Merci par avance les amis.
Pas tant que ça visiblement, à part John Mallory qui a déposé sa critique.
Il s'agit du film sorti en 1939.
Or il existe un autre film de 1957 qui porte le même titre et traite aussi de Jesse James (réalisation : Nicholas Ray).
Il est sorti il y a peu en DVD en Zone 2 en France (demain en DVD Zone 1 aux USA).
Quelqu'un le connaît-il ?
Pourrait-il faire l'objet d'une critique sur le forum CRITIQUEZ LES FILMS QUE VOUS AVEZ VUS ?
Cela m'aiderait à me faire une idée du film. Certains ouvrages en parle comme un "classique".
Merci par avance les amis.
Les westerns ? Ya pas d'âge pour en manger !
Encore un film de l'enfance vu à plusieurs reprises à la télé, avec cette fin choquante gravée dans les rétines. Pour le reste, beaucoup d'action, un mélange de style entre certaines scènes qui font très datées, style serial (l'attaque du train) et d'autres qui font au contraire très modernes (l'attaque de la banque). J'ai redécouvert ce film avec grand plaisir et j'attends de retrouver le même plaisir avec Le retour de Frank James.
1939 marque le renouveau du western après des décennies de serials sans grande envergure, renouveau marqué par des films comme Stagecoach de John Ford et Jesse James de Henry King . Ce dernier garde certaines particularités des innombrables séries B des années 30, comme cette chevauchée en accéléré pour rattraper un train, et ce bandit bien aimé qui saute ensuite de wagon en wagon, presque en ombre chinoise. Mais il entre aussi dans la cour des grands en portant l'accent sur le caractère ambigu des personnages, Jesse James en tête, campé par un Tyrone Power à la fois fragile et charismatique. On se souvient aussi du film par la grâce de deux scènes inoubliables: l'attaque désastreuse d'une banque, avec une belle progression de nervosité parmi les bandits vêtus de longs manteaux et une échappée fracassante à travers une vitrine, et le meurtre final, entré dans la légende, et réactualisé récemment dans L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford. Bien sûr, le film datant de 1939, il ne faut pas s'attendre à la richesse visuelle et narrative du film d'Andrew Dominik, ni à la fureur violente du Gang des frères James de Walter Hill (1980), néanmoins pour les allergiques aux vieilleries, il faut noter que le film est tout de même en couleur et qu'il possède le charme nostalgique de l'enfance ainsi qu'une certaine pureté originelle sur le mythe. King ne cherche pas à revisiter, à donner sa version, à démystifier, il part quasiment de zéro et crée lui-même le poncif propre à la légende avec une fraîcheur bienvenue. Et puisque on en est à comparer les vieux machins aux films modernes et montés à la diable, cette antiquité de presque 70 ans est beaucoup plus appréciable que le sympathique clip délirant qu'est American Outlaws (2001), chroniqué quelque part sur ce blog, bien qu'il ne soit pas plus proche de la réalité historique.
Multidiffusé il y a 20 ans avec sa suite, Le retour de Frank James de Fritz Lang, le brigand bien aimé est un petit joyau du western classique à découvrir ou à redécouvrir.
1939 marque le renouveau du western après des décennies de serials sans grande envergure, renouveau marqué par des films comme Stagecoach de John Ford et Jesse James de Henry King . Ce dernier garde certaines particularités des innombrables séries B des années 30, comme cette chevauchée en accéléré pour rattraper un train, et ce bandit bien aimé qui saute ensuite de wagon en wagon, presque en ombre chinoise. Mais il entre aussi dans la cour des grands en portant l'accent sur le caractère ambigu des personnages, Jesse James en tête, campé par un Tyrone Power à la fois fragile et charismatique. On se souvient aussi du film par la grâce de deux scènes inoubliables: l'attaque désastreuse d'une banque, avec une belle progression de nervosité parmi les bandits vêtus de longs manteaux et une échappée fracassante à travers une vitrine, et le meurtre final, entré dans la légende, et réactualisé récemment dans L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford. Bien sûr, le film datant de 1939, il ne faut pas s'attendre à la richesse visuelle et narrative du film d'Andrew Dominik, ni à la fureur violente du Gang des frères James de Walter Hill (1980), néanmoins pour les allergiques aux vieilleries, il faut noter que le film est tout de même en couleur et qu'il possède le charme nostalgique de l'enfance ainsi qu'une certaine pureté originelle sur le mythe. King ne cherche pas à revisiter, à donner sa version, à démystifier, il part quasiment de zéro et crée lui-même le poncif propre à la légende avec une fraîcheur bienvenue. Et puisque on en est à comparer les vieux machins aux films modernes et montés à la diable, cette antiquité de presque 70 ans est beaucoup plus appréciable que le sympathique clip délirant qu'est American Outlaws (2001), chroniqué quelque part sur ce blog, bien qu'il ne soit pas plus proche de la réalité historique.
Multidiffusé il y a 20 ans avec sa suite, Le retour de Frank James de Fritz Lang, le brigand bien aimé est un petit joyau du western classique à découvrir ou à redécouvrir.
Re: Le Brigand bien-aimé - Jesse James - 1939 - Henry King
Titre original : Jesse James
Réalisé par : Henry King
Produit par : Darryl-F. Zanuck Nunnally Johnson Ben Silvey FOX
Année : 1939
Date de sortie en salle : 12/04/39
Pays : Etats-Unis
Sujet:
1939 est peut-être la plus belle année de l’histoire du cinéma hollywoodien, une année où les classiques se comptent par dizaines, une année où certains cinéastes ont signé non pas un mais plusieurs chefs d’oeuvre.
Henry King est de ceux-là car il réalisait alors deux de ses meilleurs films pour la Fox, deux films qui se caractérisent par une extraordinaire limpidité narrative et visuelle: le sublime Stanley et Linvingstone et Le brigand bien-aimé donc. Un film où King filme le mythe Jesse James à hauteur d’homme. La narration est d’une admirable simplicité et la mise en scène est un modèle de classicisme. Pas un seul plan contemplatif alors que l’oeuvre est une splendeur de chaque instant, pas un seul plan qui ne s’intègre dans un ensemble parfaitement équilibré. Très peu de musique dans une bande-son qui en faisant la part belle au gazouillis des oiseaux et au tranquille ruissellement du fleuve s’allie merveilleusement aux images en Technicolor de la campagne américaine et insuffle une poésie pastorale à ce western. Cependant la violence de l’histoire n’est pas escamotée par le cinéaste capable de filmer des scènes d’action hallucinantes comme cette séquence où deux cavaliers en fuite sautent du haut d’une falaise dans un fleuve avec leurs chevaux.
Jesse James est montré comme un fermier plongé dans l’engrenage du banditisme après son légitime soulèvement contre la Compagnie des Chemins de fer de Saint-Louis. C’est que d’un point de vue politique, ce film est le vecteur d’une idée fondamentalement américaine, celle de la destruction d’un paradis individuel par les grandes organisations, destruction qui entraîne ici fin du foyer familial et déliquescence morale. Tyrone Power dans le rôle titre nous gratifie d’une de ses plus belles prestations. Des trucs d’une évidente simplicité comme les variations de sa barbe rendent pregnante son évolution de paisible fermier à bandit en cavale. Ses scènes avec Nancy Kelly qui joue la malheureuse épouse de Jesse James sont directes et émouvantes grâce notamment à la caméra d’Henry King qui utilise avec parcimonie mais judicieusement les gros plans. Enfin, la galerie de seconds rôles bien dessinés, d’Henry Fonda en grand frère à Randolph Scott en shérif intègre, permet de faire exister tout un contexte familial et social autour du couple central.
Voici des photos tres rare:
Re: Le Brigand bien-aimé - Jesse James - 1938 - Henry King
Comme d'habitude, des photos fantastiques! Merci.
Je suis étonné du faible nombre de commentaires sur ce film, qui est un classique, avec trois interprètes de premier plan.
Bien sûr, l'histoire réelle du gang James passe à la trappe, mais nom d'un chien que c'est bien foutu, que c'est agréable de voir Power et Fonda en héros.
L'un des mes premiers souvenirs de cinéma, et pendant longtemps, j'ai adoré les outlaws à cause de ce film.
A revoir, young men, go west!
Je suis étonné du faible nombre de commentaires sur ce film, qui est un classique, avec trois interprètes de premier plan.
Bien sûr, l'histoire réelle du gang James passe à la trappe, mais nom d'un chien que c'est bien foutu, que c'est agréable de voir Power et Fonda en héros.
L'un des mes premiers souvenirs de cinéma, et pendant longtemps, j'ai adoré les outlaws à cause de ce film.
A revoir, young men, go west!
Re: Le Brigand bien-aimé - Jesse James - 1938 - Henry King
Rare photo hors tournage!
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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Re: Le brigand bien-aimé (Jesse James) - Henry King - 1938
de nouvelles affiches et photos
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: Le brigand bien-aimé (Jesse James) - Henry King - 1938
Vu 2 fois, la première fois j'ai été comme Tepepa marquée par la fin. Vu une 2e fois quelque années plus tard et la magie n'a plus vraiment opéré... je n'ose le revoir une 3e foisVin a écrit :Je suis étonné du faible nombre de commentaires sur ce film, qui est un classique, avec trois interprètes de premier plan.
Re: Le brigand bien-aimé (Jesse James) - Henry King - 1938
La première fois que je l'ai vu, j'étais tout gosse, mais vraiment petitou.
Et là, j'ai eu un choc: Comment ? Un voyou, celà peut être sympa comme celà ? Victimes d'injustices comme ces deux héros ?
Même si depuis j'ai compris (un peu) d'autres choses, ce film a toujours une place un peu à part, c'est celui qui m'a appris que le monde ne se divisait pas en deux, les gentils et les méchants.
Et puis, même encore aujourd'hui, Tyrone et Henry, quelle classe!
Et là, j'ai eu un choc: Comment ? Un voyou, celà peut être sympa comme celà ? Victimes d'injustices comme ces deux héros ?
Même si depuis j'ai compris (un peu) d'autres choses, ce film a toujours une place un peu à part, c'est celui qui m'a appris que le monde ne se divisait pas en deux, les gentils et les méchants.
Et puis, même encore aujourd'hui, Tyrone et Henry, quelle classe!
- Cole Armin
- Maire
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Re: Le brigand bien-aimé (Jesse James) - Henry King - 1938
Une version très "Hollywood" du personnage. Je préfère la version de Nicholas Ray de 1957 (même si Tyrone Power est bien mieux dans le rôle que Richard Wagner )
"Attends d'être aussi vieux que moi pour parler comme moi"
Walter Brennan dans La Rivière rouge
Discutez cinéma!
Walter Brennan dans La Rivière rouge
Discutez cinéma!
Re: Le brigand bien-aimé - Jesse James - Henry King - 1938
Pourtant Richard c'est une pointure: la musique devait être pas mal...
Blague à part "le brigand bien aimé" ne suscite pas non plus l'enthousiasme chez moi..
Bien que conscient de l'importance historique du film je trouve qu'il ne tient plus la route ou disons qu'il est très daté...
Je ne parle pas de la qualité technique mais de la narration, ça reste du cinoche des années trente dans le mauvais sens du terme, c'est à dire (chose constatée dans beaucoup d'autres films de la même époque, ex : Les conquérants (Dodge City) trop de personnages secondaires auxquels sont réservés des scènes inutiles : histoire d'amour obligée (toujours très chaste), et souvent intermèdes comiques plus ou moins drôles avec les comparses des héros qui parasitent l'intrigue principale et lui enlèvent de sa force (ici comme le héros est un bandit cela rend l'histoire d'amour avec une "honnête fille" plutôt intéressante mais les scènes avec le rédacteur du journal, pitié !)
Ce défaut sera corrigé au fil du temps et n'apparait presque plus dans les années 50 - d'où ma prédilection pour l'époque!
Bon à part ça c'est toujours un grand plasir de revoir Henry Fonda jeune, ainsi que Randolph Scott d'ailleurs... Mais leurs meilleurs westerns restent à venir !
Blague à part "le brigand bien aimé" ne suscite pas non plus l'enthousiasme chez moi..
Bien que conscient de l'importance historique du film je trouve qu'il ne tient plus la route ou disons qu'il est très daté...
Je ne parle pas de la qualité technique mais de la narration, ça reste du cinoche des années trente dans le mauvais sens du terme, c'est à dire (chose constatée dans beaucoup d'autres films de la même époque, ex : Les conquérants (Dodge City) trop de personnages secondaires auxquels sont réservés des scènes inutiles : histoire d'amour obligée (toujours très chaste), et souvent intermèdes comiques plus ou moins drôles avec les comparses des héros qui parasitent l'intrigue principale et lui enlèvent de sa force (ici comme le héros est un bandit cela rend l'histoire d'amour avec une "honnête fille" plutôt intéressante mais les scènes avec le rédacteur du journal, pitié !)
Ce défaut sera corrigé au fil du temps et n'apparait presque plus dans les années 50 - d'où ma prédilection pour l'époque!
Bon à part ça c'est toujours un grand plasir de revoir Henry Fonda jeune, ainsi que Randolph Scott d'ailleurs... Mais leurs meilleurs westerns restent à venir !
- Pike BISHOP
- Marshall
- Messages : 2660
- Enregistré le : 14 févr. 2008 19:27
- Localisation : Aquaverde
Re: Le brigand bien-aimé - Jesse James - Henry King - 1938
A peu près d'accord..L'humour assez lourd (devient running gag dans le "RETURN of FRANK JAMES" de LANG) de l'imprimeur..
Mais j'adore tous ces petits personnages.. DONLEVY en méchant, J.ED BROMBERG en faux-cul, Donald MEEKS du chemin de fer...
Les scènes d'action sont remarquables aussi de nervosité, superbes cavalcades et cascades, tellement bonnes qu'elles ont été
réutilisées telles quelles dans le "remake" de RAY....
TYRONE POWER annonçait déjà la vision de RAY, d'un JJ moins lisse, plus amer..Quand il gifle son complice et se fait sermonner
par son frère qui lui dit " Tu deviens un salaud !!"..
Superbes couleurs et déjà en 1938 les fameux cache-poussières que LEONE a réinventé trente ans plus tard !!!
Bien sûr, il y a du meilleur à venir après celui-là, mais je n'y cracherai pas dessus quand-même...
Mais j'adore tous ces petits personnages.. DONLEVY en méchant, J.ED BROMBERG en faux-cul, Donald MEEKS du chemin de fer...
Les scènes d'action sont remarquables aussi de nervosité, superbes cavalcades et cascades, tellement bonnes qu'elles ont été
réutilisées telles quelles dans le "remake" de RAY....
TYRONE POWER annonçait déjà la vision de RAY, d'un JJ moins lisse, plus amer..Quand il gifle son complice et se fait sermonner
par son frère qui lui dit " Tu deviens un salaud !!"..
Superbes couleurs et déjà en 1938 les fameux cache-poussières que LEONE a réinventé trente ans plus tard !!!
Bien sûr, il y a du meilleur à venir après celui-là, mais je n'y cracherai pas dessus quand-même...
If they move, kill'em !!
Re: Le brigand bien-aimé - Jesse James - Henry King - 1938
Ces cache-poussières, je les ai vus dans tellement de films de Ford et d'autres datés de 1910 à 1950 que leur fonction esthétique chez Leone me paraît légèrement surévaluée en ce qui me concerne. Je me demande si je n'en viens pas à préférer le cache poussière dégoulinant de pluie de My Darling Clementine à ceux rigides de poussière d'Il était une fois dans l'Ouest (et pourtant je ne m'ennuie férocement devant My darling clementine...)Pike BISHOP a écrit : Superbes couleurs et déjà en 1938 les fameux cache-poussières que LEONE a réinventé trente ans plus tard !!!
Re: Le brigand bien-aimé - Jesse James - Henry King - 1938
Pour un classique du genre, un JESSE JAMES qui vole aux riches pour donner aux pauvres.
Vous pouvez me mettre des.......avoir oublié de mettre la fiche TV.
Et en plus une photo.
Vous pouvez me mettre des.......avoir oublié de mettre la fiche TV.
Et en plus une photo.
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